Titulaire d’un Master en stratégie de communication obtenu à l’Université Bordeaux 3, j’ai commencé ma carrière professionnelle au Centre national des arts plastiques, où j’ai exercé pendant huit ans le rôle d’adjointe à la responsable de la communication, de l’information et des ressources pour les professionnels. En fin d’année 2019, j’ai fait le choix de me lancer en tant qu’indépendante.
Actuellement, en tant que consultante en communication spécialisée dans le secteur culturel, je conçois et déploie des stratégies de communication. Je collabore avec des acteurs de ce domaine, tels que le Marché Dauphine aux Puces de Saint-Ouen, le Frac Île-de-France, le réseau du Grand Belleville, ainsi qu’avec des artistes tels que Cécile Hartmann, Flora Moscovici, Romain Kronenberg. Mon expertise s’étend également au soutien de réseaux régionaux dans les arts visuels (comme Astre et Plan d’Est), où je me concentre sur l’assistance à maîtrise d’ouvrage pour le développement de plateformes ressources. Cette double expertise en communication et en accompagnement d’artistes me permet de répondre aux besoins spécifiques du secteur culturel.
Récemment, mon domaine d’intervention s’est diversifié pour inclure la santé, avec une mission de community management pour l’Institut Pasteur, et la gastronomie, à travers une collaboration avec le restaurant Eclipses by Cyril Choisne.
Mon sujet de prédilection en formation est la stratégie éditoriale pour les différents canaux de communication. J’apprécie particulièrement explorer les nuances de la création de contenus efficaces et pertinents, adaptés à chaque plateforme et à chaque public cible. Cette approche me passionne car elle allie à la fois la créativité de la rédaction et la stratégie globale de communication, en permettant de construire des messages percutants et engageants pour les audiences visées.
La création contemporaine est ce qui m’anime normalement mais mon dernier coup de cœur est une œuvre de 1913 intitulée La fiancée du vent d’Oskar Kokoschaka découverte au Kunstmuseum à Bâle. Cette œuvre m’a ramené à l’essentiel : l’émotion.
